1 m 65, 50 kilos. Alain Robert n'était pas taillé pour réaliser des exploits surhumains. Et pourtant, il a, toute sa vie, relevé les défis les plus inouïs. Depuis les huit étages de l'immeuble familial qu'il grimpe à l'âge de 12 ans parce qu'il a perdu ses clés, jusqu'aux 828 mètres de la Burj Khalifa qu'il escalade devant 100 000 spectateurs au souffle coupé à Dubaï, en passant par les voies les plus extrêmes des falaises sur lesquelles il parfait sa technique, Alain Robert n'a jamais reculé devant la difficulté ni même l'impossible.Malgré son vertige chronique. Malgré ses crises d'épilepsie. Malgré ses nerfs sectionnés, ses os broyés et autres séquelles de chutes qui le rendent invalide à 66 % selon le verdict des experts médicaux, bluffés par son mépris de la douleur et des pronostics alarmistes. Malgré la prison, aussi, où il séjourne souvent : dans certains pays, on ne part pas à l'assaut des gratte-ciels sans se frotter avec la justice.
Il faut lire cette histoire pour comprendre comment une volonté s'éveille, s'affirme, s'impose.
Alain Robert fait partie de ces hommes qui, dans une quête effrénée et vitale de liberté, interrogent nos limites, en les soumettant aux frayeurs viscérales des simples mortels que nous sommes. L'ennemi qu'il s'ingénie à combattre depuis toujours porte un nom que nous connaissons bien : le vide.
Été 1940, Anne Corre a 15 ans quand les troupes allemandes envahissent la pointe de la Bretagne.Après une action spontanée le 11 novembre 1940, elle est envoyée à Paris, au prestigieux lycée Victor-Duruy. Très vite, elle participe, avec Geneviève de Gaulle, à des actions pour protéger ses profs juifs.Anne entre en Résistance au sein d'un groupe de combat chargé d'exécuter les « collabos » et de saboter le STO.Traquée par la Gestapo, elle est capturée à Rennes et monte dans le dernier train de déportation avant l'arrivée des Américains.Sachsenhausen, Ravensbrück, puis on perd sa trace.Il ne reste d'elle que des fragments d'histoire, une réputation malencontreuse qui fait croire à tort qu'elle était collabo et... un carnet pourpre.
Cet ouvrage explore de nouvelles pratiques interculturelles dans le champ du travail et propose des retours d'expérience utiles. Le management interculturel est né de la critique d'un modèle universel de gestion qui serait partout efficace. Mais les ancrages culturels et identitaires trouvent de nouvelles ressources et formes d'expression qu'il s'agit partout de repérer pour agir.
« Les manières d'aimer ne sont plus ce qu'elles étaient, ni les rapports entre le masculin et le féminin. C'est l'un des aspects les plus troublants d'une modification d'ensemble des relations familiales, une mutation bouleversante, le plus important peut-être de tous les changements qui affectent notre civilisation à la veille du IIIe millénaire... » Georges Duby
Le Passage du coeur Navré : deux nouvelles. Suzanne : une histoire dont l'auteur s'est baigné. Fait divers réel ou imaginaire ? Article 19 : À travers une histoire familiale, une vraie fausse vérité vient-elle éclairer l'énigme du Masque de Fer ?
Le Domino : Une nouvelle bien actuelle. Tout en finesse, Alain Coulon nous raconte une anecdote savoureuse de sa vie de journaliste localier. Couvrir le premier conseil municipal de Maurice Papon après l'information sur son attitude pendant la dernière guerre peut amener à de « drôles » de relations avec un journaliste de télévision... surtout si l'on a été secoué dans la journée !
Cet ouvrage est destiné à procurer aux professionnels engagés dans la vie économique, au sein d'une entreprise ou d'une banque, les connaissances générales indispensables à leur activité, en particulier dans leurs relations avec des partenaires étrangers. Aussi une large place a-t-elle été réservée à la description des pratiques en vigueur. En même temps, les auteurs se sont efforcés de rendre leur exposé accessible à des personnes qui ne sont pas spécialisées dans cette matière, souvent réputée difficile, dont les répercussions sont de plus en plus sensibles dans tous les domaines de l'activité économique, voir de la vie de chacun.
Cet ouvrage détaille les spécificités du "vivre ensemble" canadien. Quels sont les fondations historiques et les repères politiques de la société canadienne ? Quels sont les chantiers et les controverses que le "modèle" défriche en matière d'autonomie et d'identité ? Ces contributions reviennent aussi sur les contradictions redoutables de la société canadienne et nous fait entrevoir les règles d'une canadian attitude.