"Le docteur, praticien entre deux âges, appelé d'urgence du bourg voisin, parle avec un minutieux souci de précision. À neuf heures trente-cinq ce matin, il a été alerté par téléphone. Une femme se mourait au Mas Perdu. D'après la description des symptômes, l'empoisonnement arsenical a été immédiatement diagnostiqué..." Un roman policier d'Eric Cammar, paru en 1965.
Opération secrète au Cambodge : l'enlèvement d'un leader vietnamien. Mission spéciale ou mission suicide ? Le cerveau diabolique qui tire les ficelles doit bien s'amuser !
On l'appelle le Bonhomme. Il évolue dans des milieux bourgeois et fortunés. Il assassine impunément et nargue les enquêteurs les plus doués... La plus riche héritière de Nice est à ses trousses. Le plus riche orphelin de France s'est juré de le démasquer. Mais le Bonhomme tue toujours...
La victime aurait aussi bien pu être l'assassin. Chacun des trois suspects aurait aussi bien pu être la victime. L'histoire avait commencé par une gageure à laquelle personne ne croyait. Surtout pas celui qui la formulait !
La porte du bureau directorial n'était pas fermée à clé. N'importe quel employé aurait pu entrer. Et pourtant l'assassin a choisi de frapper au moment même où dix témoins étaient dans l'entrée. Quand, une seconde après le coup de feu, on a découvert le cadavre du directeur, l'assassin n'était pas dans la pièce...
Elle est le seul témoin du crime, mais qui pourrait s'en douter ? Elle a huit ans et une étonnante lucidité : elle sait qu'elle ne peut pas dénoncer la personne qui a tué.
o Il était une fois un caissier de la Sécurité sociale qui aimait la mer et qui avait réussi à s'acheter un beau bateau. o Il partit sur les flots vers le soleil, vers la terre des catastrophes... vers la Sicile, où il tomba sur les hommes en noir qui cherchaient une caisse noire et un assassin. o En tant que caissier, il était tout désigné... pour encaisser.
Dans les sombres bois de Mainmorte, au clair de lune, à la porte du château, presque nue, son fusil à la main, la belle Adrienne est morte. Subitement ?
Elles étaient cinq soeurs. J'ai épousé la plus jeune. Mais, était-ce bien celle que je voulais ? Était-ce bien celle qui m'aimait ? Il m'est difficile de parler d'elle puisqu'elle est morte, assassinée.
Ils étaient là, les quatre frères et soeurs affirmant qu'ils ne l'avaient pas tuée. Ils regardaient avec effroi l'insolite arme du crime, un oreiller bleu et blanc qui reposait sur une tragique immobilité : la tête défigurée d'Anna.
Il avait beau se faire passer pour un "affreux" on savait ce qu'il était : un agent secret français. A Brazza, tout allait si vite... Il intéressait les Russes, les Chinois, les Américains... Mais aussi une brune aux yeux bleus qui jouait du revolver comme un gangster. A Brazza, tout allait si mal...
Il a été témoin d'un crime. Il prétend avoir vu le meurtrier, ce mystérieux sadique qu'on a surnommé "l'étrangleur des quais". Mais pourquoi ce témoin devient-il suspect ? Pourquoi fait-il sa propre enquête ? Cherche-t-il à égarer les policiers, ou bien à démasquer le véritable meurtrier ?
On m'avait mis en garde contre cette famille de cinglés ! Le père : un cinéaste arrivé. La mère : une romancière à succès. Le fils : un play-boy complexé. La fille... C'est elle qui m'intéressait. Mais un jeune acteur imbécile vint compliquer notre idylle. Il avait une tête magnifique. Une ambition démesurée... Et un poignard dans le coeur.
En bas du village, les paysans. En haut, les estivants : Un jeune peintre plein de délicatesse ; un critique d'art aux bien curieux latents ; sa jolie femme qui s'offre des gigolos ; des amateurs très riches qui s'offrent de faux tableaux ; une colonie de hippies qui mène joyeuse vie... Et deux morts par-dessus le marché !
Il avait à choisir entre deux prisons : la Santé, ou les bras d'une femme magnifique. Eh bien, contre toute logique, il se sentait beaucoup plus en sécurité... à la Santé.
Il sort de prison, il est un déclassé et il veut le cacher. Or voici que, dans son appartement, il découvre le corps d'une enfant. Une enfant ? Oui, elle a à peine l'âge de l'amour, mais on lui a fermé les yeux pour toujours.
Il est incarcéré dans une citadelle Et surveillé jour et nuit. C'est un espion de grande classe Un ancien nazi. Il n'a aucune chance de s'en sortir Et pourtant, un certain n°7 prépare son évasion... Mais qui peut être ce n°7 ?
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
La femme du préfet a disparu et le préfet est malheureux car il sent un malentendu entre eux. L'amie de la préfète à son tour disparaît et le préfet se montre anxieux : y a-t-il un secret entre eux ? Mais quand le chef de cabinet du préfet disparaît le préfet devient fou furieux car il y a deux cadavres... entre eux.
L'ancien de l'Assistance Publique n'entend pas, il parle à peine. Mais si vous l'attaquez, il cogne comme un sourd ! Demandez donc à la bande de blousons dorés qui le harcèlent depuis deux jours ! Ces jeunes drogués le font sourire. Mais il a tort : leur égérie, la belle Cathy, va lui faire endosser le meurtre de son mari.
Ethel Burnet s'est suicidée. Pas de quoi fouetter un chat. Mais qui donc est la Grande Pythie ? Ethel Burnet était riche à crever. Mais pourquoi vivait-elle dans une arrière-boutique ? Et que lui disait donc la Grande Pythie ? Daniel Burnet est un pauvre type. Daniel Burnet sait bien qu'il a tué sa femme Ethel. Mais la Grande Pythie est certaine du contraire. Et la Grande Pythie ne se trompe jamais. Plus tranchante qu'une lame de rasoir. Rien que la Vérité. Mais toute la Vérité.
Il y a un mort chez vous ! dit le bout de papier glissé sous ma porte. Là, fillette, tu ne m'apprends rien. Mais je voudrais bien savoir qui a logé une balle de P. 36 dans ton petit coeur, et aussi ce que tu allais faire dans cette cabine téléphonique ? Et puis, c'est plein de monde, chez moi ! Quarante bons hommes, tous habillés en académiciens, vous parlez d'un héritage ! Quarante cadavres, ou un seul ? Ce qui est sûr, c'est que j'ai eu chaud : la fièvre à quarante, pour tout dire.
Pan... un mannequin tombe. Pan, pan... deux mannequins tombent. Pan, pan, pan... trois mannequins sont tombés. Pour un tireur émérite, devenir un tueur est l'enfance de l'art. A condition qu'une femme passionnée ne fasse pas dévier la cible ou qu'un autre tueur ne soit pas sur les lieux... Pan, pan, pan... un homme tombe. Est-ce une vraie ou une fausse victime ?
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.