Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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J.-M. Jeanneney. Né le 13 novembre 1910 à Paris. Fils de Jules Jeanneney, ancien Président du Sénat. Études à la Faculté de Droit de Paris et à l'École des Sciences Politiques. Agrégé de sciences économiques dès 1936 et nommé, alors, à la Faculté de Droit de Grenoble dont il est le Doyen, de 1947 à 1951. De septembre 1944 à novembre 1945, directeur du Cabinet de Jules Jeanneney, ministre d'État du Gouvernement Provisoire. Depuis 1952, enseigne l'économie sociale comparée à la Faculté de Droit de Paris et dirige le Service d'Études de l'Activité Économique à la Fondation Nationale des Sciences Politiques. En 1950, représentant de la France à la Commission de l'Emploi des Nations Unies à New-York. En 1951, rapporteur au Colloque de l'Association Internationale des Sciences Économiques. De mai à juillet 1953, consultant à l'O.E.C.E. en matière de productivité dans le commerce. En juin 1955, rapporteur au Colloque des Facultés de Droit à Grenoble sur les entreprises nationalisées. En octobre 1957, rapporteur général au Congrès international de l'Épargne, à Paris. Membre du Comité des Experts présidé par M. Jacques Rueff en octobre et décembre 1958, Jean-Marcel Jeanneney est ministre du Commerce depuis janvier 1959.
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J.-M. Jeanneney. Né le 13 novembre 1910 à Paris. Fils de Jules Jeanneney, ancien Président du Sénat. Études à la Faculté de Droit de Paris et à l'École des Sciences Politiques. Agrégé de sciences économiques dès 1936 et nommé, alors, à la Faculté de Droit de Grenoble dont il est le Doyen, de 1947 à 1951. De septembre 1944 à novembre 1945, directeur du Cabinet de Jules Jeanneney, ministre d'État du Gouvernement Provisoire. Depuis 1952, enseigne l'économie sociale comparée à la Faculté de Droit de Paris et dirige le Service d'Études de l'Activité Économique à la Fondation Nationale des Sciences Politiques. En 1950, représentant de la France à la Commission de l'Emploi des Nations Unies à New-York. En 1951, rapporteur au Colloque de l'Association Internationale des Sciences Économiques. De mai à juillet 1953, consultant à l'O.E.C.E. en matière de productivité dans le commerce. En juin 1955, rapporteur au Colloque des Facultés de Droit à Grenoble sur les entreprises nationalisées. En octobre 1957, rapporteur général au Congrès international de l'Épargne, à Paris. Membre du Comité des Experts présidé par M. Jacques Rueff en octobre et décembre 1958, Jean-Marcel Jeanneney est ministre du Commerce depuis janvier 1959.
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La progressive émancipation du Japon par rapport aux États-Unis, depuis 1945, est un des phénomènes les plus remarquables et, paradoxalement, les moins étudiés de la politique internationale contemporaine. Dans cette étude, qui envisage le processus dans une optique relationnelle, Pierre Fistié fait apparaître comment cette émancipation s'est développée initialement dans un contexte bilatéral : séquelles de l'antagonisme nippo-américain dans l'immédiat après-guerre, bientôt remplacées par la guerre froide entre les États-Unis et l'U.R.S.S., puis la Chine. Le Japon a mis ces nouvelles circonstances à profit pour réaliser un développement industriel sans précédent mais en réarmant tout d'abord moins que les États-Unis ne l'espéraient, et en laissant à ces derniers le soin de le garantir contre d'hypothétiques menaces extérieures. Dans une seconde phase, aujourd'hui bien amorcée, les relations nippo-américaines ne sont plus qu'un aspect d'un système de relations multipolaires. Pierre Fistié montre comment le Japon, en fait, s'est préparé de longue date à ce nouvel état de choses, en renouant avec la Chine des relations commerciales aussi fructueuses que politiquement malaisées et, avec l'U.R.S.S., des relations diplomatiques et économiques qui, jusqu'à présent, ont laissé en suspens le problème territorial des Kouriles du Sud. Compte tenu du passé qui est le sien, le dynamisme industriel du Japon ne manque pas d'inquiéter. Pierre Fistié montre cependant que le Japon d'aujourd'hui est trop vulnérable pour pouvoir être assimilé à celui d'hier.
Le Colloque, organisé par la Fondation nationale des sciences politiques, les 6 et 7 mars 1970, sous le titre : Le gouvernement de Vichy et la Révolution nationale (1940-1942), est à l'origine de cet ouvrage. Y participèrent historiens, juristes, politistes, témoins et acteurs de la période. Le livre ne retient pas tous les éléments du Colloque : il se limite volontairement aux institutions, et à certaines politiques du gouvernement de Vichy. Les premières furent-elles dérogatoires des traditions républicaines ? Quel fut le destin des secondes ? Les réponses sont nuancées. S'il est clair que le régime de Vichy entendit rejeter les cadres et l'esprit du régime auquel il se substituait, dans les faits, les procédures - et jusque dans les hommes -, la rupture ne fut pas si complète. De même, si nombre de politiques restent marquées par le caractère exceptionnel de la période, d'autres, en revanche, ont pu - sans dommage sinon sans modification - se perpétuer sous les régimes ultérieurs. Qui pouvait, mieux que les acteurs et les historiens rassemblés, relever ce qui tenait de la rupture ou de la continuité, de l'éphémère ou de la pérennité ?
La progressive émancipation du Japon par rapport aux États-Unis, depuis 1945, est un des phénomènes les plus remarquables et, paradoxalement, les moins étudiés de la politique internationale contemporaine. Dans cette étude, qui envisage le processus dans une optique relationnelle, Pierre Fistié fait apparaître comment cette émancipation s'est développée initialement dans un contexte bilatéral : séquelles de l'antagonisme nippo-américain dans l'immédiat après-guerre, bientôt remplacées par la guerre froide entre les États-Unis et l'U.R.S.S., puis la Chine. Le Japon a mis ces nouvelles circonstances à profit pour réaliser un développement industriel sans précédent mais en réarmant tout d'abord moins que les États-Unis ne l'espéraient, et en laissant à ces derniers le soin de le garantir contre d'hypothétiques menaces extérieures. Dans une seconde phase, aujourd'hui bien amorcée, les relations nippo-américaines ne sont plus qu'un aspect d'un système de relations multipolaires. Pierre Fistié montre comment le Japon, en fait, s'est préparé de longue date à ce nouvel état de choses, en renouant avec la Chine des relations commerciales aussi fructueuses que politiquement malaisées et, avec l'U.R.S.S., des relations diplomatiques et économiques qui, jusqu'à présent, ont laissé en suspens le problème territorial des Kouriles du Sud. Compte tenu du passé qui est le sien, le dynamisme industriel du Japon ne manque pas d'inquiéter. Pierre Fistié montre cependant que le Japon d'aujourd'hui est trop vulnérable pour pouvoir être assimilé à celui d'hier.
Le Colloque, organisé par la Fondation nationale des sciences politiques, les 6 et 7 mars 1970, sous le titre : Le gouvernement de Vichy et la Révolution nationale (1940-1942), est à l'origine de cet ouvrage. Y participèrent historiens, juristes, politistes, témoins et acteurs de la période. Le livre ne retient pas tous les éléments du Colloque : il se limite volontairement aux institutions, et à certaines politiques du gouvernement de Vichy. Les premières furent-elles dérogatoires des traditions républicaines ? Quel fut le destin des secondes ? Les réponses sont nuancées. S'il est clair que le régime de Vichy entendit rejeter les cadres et l'esprit du régime auquel il se substituait, dans les faits, les procédures - et jusque dans les hommes -, la rupture ne fut pas si complète. De même, si nombre de politiques restent marquées par le caractère exceptionnel de la période, d'autres, en revanche, ont pu - sans dommage sinon sans modification - se perpétuer sous les régimes ultérieurs. Qui pouvait, mieux que les acteurs et les historiens rassemblés, relever ce qui tenait de la rupture ou de la continuité, de l'éphémère ou de la pérennité ?
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C'est en homme profondément attaché à ce pays immense et soucieux du développement économique, social et politique de l'Inde indépendante, que Charles Bettelheim nous propose ce livre. Il nous rappelle les conditions de son accession à l'indépendance le 15 août 1947, nous présente les différents pans de son économie, son peuple auquel il voue une admiration sans bornes, son niveau de vie, ses luttes politiques, ses perspectives d'avenir.
La période 1913-1945 fut chargée à bien des égards. Qu'en fut-il pour les États-Unis, alors première nation du monde, et son apprentissage d'un rôle international ? J.-B. Duroselle, assisté dans sa tâche par d'innombrables spécialistes, fondations et associations, passe au crible la période qui s'étend de l'élection de Woodrow Wilson, le 4 mars 1913, à la fin de l'ère Roosevelt en 1945 : interventionisme et tradition moraliste, blocus britannique, Première Guerre mondiale, échec de la nouvelle diplomatie, crise de 29, nationalisme, SDN et Europe, Seconde Guerre mondiale, etc. tous les grands événements sont ici revus à la lumière de la politique extérieure des États-Unis.
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Publié en 1958, cet ouvrage l'Alfred Grosser tente de donner l'image globale de la République fédérale d'Allemagne, "pays à la fois proche et mal connu". Comme il l'indique en préambule, il est toujours difficile d'achever le portrait d'un État contemporain, notamment en ce qui concerne sa politique extérieure. L'auteur s'est donc attaché à offrir à ses lecteurs une concision et une lisibilité aussi grandes que possible, en signalant autant que faire se peut ce qu'il considère comme des manquements dans son ouvrage.