L'histoire d'une cavale où un vagabond, l'écrivain, fuit l'usure de la vie quotidienne et retrouve un autre écrivain, Roger Vailland, en recherchant des planques provisoires où il peut souffler un moment.
Deux hommes, un soir de rencontre, se reconnaissent. L'un est écrivain, Jean-Pierre Spilmont, l'autre est sculpteur, Gilles Roussi. Ils ont en commun un certain regard sur le monde. Pour l'un, la misère est de couleur noire, l'autre la préfère bleue. Un roman noir qui relate l'histoire d'une identité détournée, perdue et retrouvée.
Evoque l'humaniste et l'homme de l'absurde à la recherche de l'amour. Présente la correspondance échangée par Camus avec son ami résistant, journaliste et écrivain, René Leynaud, entre 1943 et 1944, ainsi qu'un article de Camus paru dans Combat en 1944, dans lequel l'écrivain exprime son admiration pour les hommes de la Résistance,
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
L'intensité bouleversante de certaines pièces de Franz Schubert est à l'origine des premiers poèmes de ce livre, hommage lointain, presque imperceptible, rendu à cette musique, la plus fraternelle qui soit. Personne autant que ce musicien n'a su donner une forme aussi profonde à l'angoisse de notre condition : être voué à l'amour de ce qui s'en va, à la nostalgie de ce qui n'est plus. Si tout poème est, au fond, une élégie, cette oeuvre, foncièrement élégiaque, est l'une des plus proches de la poésie : un chant de vivre qui est mourir, un adieu prolongé à la beauté des choses.
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L'adieu au siècle. Car, s'en allant, le siècle ne fait pas table rase. Il nous laisse les villes à faire chanter, danser et vivre.
Jacques Ancet invente une écriture très originale, toute en spirales et en circonvolutions, afin de mieux restituer la trame serrée de l'existence, de mieux capter le fragile équilibre du monde : une polyphonie fluide, un kaléidoscope où s'engouffrent toutes les bribes du quotidien, les objets, les corps, les voix, les désirs, les gestes et les émotions, le flot vivant du réel. Ses textes introduisent en littérature une sorte de "pointillisme" très subtil.
« Au commencement, était la relation. » Gaston Bachelard aurait pu résumer ainsi la vie et l'oeuvre de Georges Haldas, pour qui rien n'a plus de prix que la relation de l'homme au Grand Autre, la Source, que cette relation passe par la parole poétique ou non. Vivre en État de Poésie, selon Georges Haldas, c'est vivre au plus près de l'ineffable, des minutes heureuses qui sont l'émergence d'un non espace-temps, en s'efforçant - même si une part d'échec, inhérente à notre condition d'homme, est inévitable - de témoigner, dans l'espace et le temps, de la force de l'émotion poétique.
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L'aube, c'est l'instant où se lève la parole - et avec elle toute lumière. Dehors, il fait froid. On ouvre la fenêtre, on jette du sel aux anges, quelques questions aux écrivains. Ils y répondent, avec cette voix qui n'est plus celle de la vie courante, pas encore celle de l'écriture, avec cette voix faible - courante sous la cendre, tremblante sous la page.
Jacques Ancet invente une écriture très originale, toute en spirales et en circonvolutions, afin de mieux restituer la trame serrée de l'existence, de mieux capter le fragile équilibre du monde : une polyphonie fluide, un kaléidoscope où s'engouffrent toutes les bribes du quotidien, les objets, les corps, les voix, les désirs, les gestes et les émotions, le flot vivant du réel. Ses textes introduisent en littérature une sorte de "pointillisme" très subtil.
L'adieu au siècle. Car, s'en allant, le siècle ne fait pas table rase. Il nous laisse les villes à faire chanter, danser et vivre.
Poète, essayiste, critique littéraire au Monde, producteur radio sur France Culture, André Velter se veut surtout voyageur d'écriture et d'altitude. Il livre ici, en jouant de tous les registres de sa parole, une suite d'entretiens, de poèmes, de récits, de chroniques, qui sont autant d'autoportraits. Il a notamment publié Aisha (avec Serge Sautreau), L'archer s'éveille, Une fresque peinte sur le vide, Ce qui murmure de loin et L'arbre-seul. L'aube, c'est l'instant où se lève la parole - et avec elle toute lumière. Dehors, il fait froid. On ouvre la fenêtre, on jette du sel aux anges, quelques questions aux écrivains. Ils y répondent avec cette voix qui n'est plus celle de la vie courante, pas encore celle de l'écriture, avec cette voix faible - courante sous la cendre, tremblante sous la page.
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Poète, essayiste, critique littéraire au Monde, producteur radio sur France Culture, André Velter se veut surtout voyageur d'écriture et d'altitude. Il livre ici, en jouant de tous les registres de sa parole, une suite d'entretiens, de poèmes, de récits, de chroniques, qui sont autant d'autoportraits. Il a notamment publié Aisha (avec Serge Sautreau), L'archer s'éveille, Une fresque peinte sur le vide, Ce qui murmure de loin et L'arbre-seul. L'aube, c'est l'instant où se lève la parole - et avec elle toute lumière. Dehors, il fait froid. On ouvre la fenêtre, on jette du sel aux anges, quelques questions aux écrivains. Ils y répondent avec cette voix qui n'est plus celle de la vie courante, pas encore celle de l'écriture, avec cette voix faible - courante sous la cendre, tremblante sous la page.
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« Au commencement, était la relation. » Gaston Bachelard aurait pu résumer ainsi la vie et l'oeuvre de Georges Haldas, pour qui rien n'a plus de prix que la relation de l'homme au Grand Autre, la Source, que cette relation passe par la parole poétique ou non. Vivre en État de Poésie, selon Georges Haldas, c'est vivre au plus près de l'ineffable, des minutes heureuses qui sont l'émergence d'un non espace-temps, en s'efforçant - même si une part d'échec, inhérente à notre condition d'homme, est inévitable - de témoigner, dans l'espace et le temps, de la force de l'émotion poétique.
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L'aube, c'est l'instant où se lève la parole - et avec elle toute lumière. Dehors, il fait froid. On ouvre la fenêtre, on jette du sel aux anges, quelques questions aux écrivains. Ils y répondent, avec cette voix qui n'est plus celle de la vie courante, pas encore celle de l'écriture, avec cette voix faible - courante sous la cendre, tremblante sous la page.
Une poésie qui mêle exploration du langage, invitation au voyage intérieur, dissidence et révolte contre l'ordre établi.
Des aventures singulières faites de petits riens d'étranges évocations poétiques. C'est le coup du téléphone, de la vie de Rimbaud ou de madame Untel.