Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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Il est des écritures singulières. Celle de Franz Kafka interroge sans détour le vif en chacun, à l'endroit où vacillent les certitudes, là où on touche à l'origine de la parole, aux attaches insensées du nom et du corps : questions où errent le sujet, son corps de chair et ses mots de papier. Il y va pour Kafka de son corps, de sa poitrine surtout, de son poumon. Celui-ci se révèle « lettre anonyme », organe clandestin, suivant des circuits souterrains, dessinés selon les arabesques d'une écriture illisible, codée. Chaque texte de Kafka porte l'enflure visible du secret : ce qui est caché brille. Franz y perd son nom. ses lettres, ses kilos, réduit à sa trace : K. Il s'amaigrit, devient transparent, n'est plus qu'une enveloppe, une carapace, un fantôme. En mars 1924, Franz est au soir de sa vie : la tuberculose du poumon a contaminé sa gorge et a contraint sa voix au silence.
Septembre était moite. Paris avait la fièvre jaune. Les dépêches tombaient, laconiques : une prostituée chinoise revolverisée dans le XIIIe - de retour de Bangkok, un journaliste de Libération assassiné - le cabaret « L'Empire du Milieu » ferme définitivement ses portes - nuit chaude hier pour les Chinois de Paris, 27 morts. Le pire n'était pas là : Martial Legarrec avait disparu. Lui, et lui seul, aurait pu dire (peut-être) ce qui était en train de se tramer. Le temps pressait. L'opinion publique réclamait ses coupables. Toutes les polices de France se révélaient impuissantes. Où était Legarrec ? Sous la terre, il cherchait la vérité.