Un tableau d'ensemble de la vie à Toulouse sous l'Ancien Régime (du XVIe au XVIIIe siècle). Après une description du paysage urbain, un rappel de l'organisation des institutions municipales et une analyse des structures démographiques et sociales, l'auteur évoque les diverses facettes de l'existence quotidienne : la naissance, la maladie et la mort, le logement, l'alimentation, l'hygiène...
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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Valérie Valère est née la veille du Jour des Morts, le 1er novembre 1961. chez un couple désuni. La mère se dispute sans cesse avec son mari et a mal accepté la naissance de cette fille. Valérie va ressentir très vite et s'exagérer ce refus, comme elle devinera la mésentente de ses parents avant de la comprendre. Elle refuse un jour de manger. Psychiatres et psychanalystes se heurtent à un mur de béton. Sa mère la fait enfermer dans un asile pour enfants anorexiques ou fous. Son refus est sa façon de s'affirmer. Sortie du « Pavillon des enfants fous », elle cherche une évasion, sans persévérer, à l'école du Cirque où elle devient funambule, puis au cinéma (elle tourne avec Jeanne Moreau et dans un film tiré d'un roman de Balzac). Elle croit enfin trouver libération et identité dans l'écriture. A 17 ans, elle écrit en trois mois Le Pavillon des enfants fous. C'est un best-seller. Elle fait à « Apostrophes » un passage inoubliable. La presse s'empare d'elle. La mal-aimée paraît sortir enfin d'elle-même, trouver çà et là les regards et l'écoute après lesquels elle court. Grâce à ses droits d'auteur, elle est indépendante. Boulimique d'écriture, elle écrit encore plusieurs romans. Mais rien n'y fait, elle se replie dans le rêve et la solitude, le refus. Elle se drogue de médicaments. Le 18 décembre 1982, à 21 ans, elle ne se réveillera pas. En fait, dans ce monde si étranger à ses rêves, elle a toujours été sûre de sa mort prochaine. Elle a fait plusieurs testaments dont le dernier, respecté, demandait Que l'on disperse ses cendres dans la mer. Le souvenir de Valérie Valère, dont la célébrité parmi les jeunes a été fulgurante et brève comme sa vie, valait d'être ranimé. En elle s'entrechoquaient l'enfance et la maturité. Elle a été le reflet pathétique d'une frange obscure, angoissée, trop lucide, de sa génération. Ce Qui fut un témoignage exceptionnel il y a vingt ans est devenu aujourd'hui un véritable phénomène de société. Son histoire est un appel aux parents pour Qu'ils regardent encore plus leurs enfants.
Pour connaître la vie quotidienne et les sentiments des populations au temps des guerres de Religion, le public ne disposait pas de témoignages de premier ordre portant sur une longue durée. Il existe pourtant un maître ouvrage qui comble le vide : le Journal de Louvet. Si, depuis une quinzaine d'années, quelques grands historiens y ont fait référence, il n'avait fait l'objet d'une publication qu'au milieu du XIXe siècle, en plusieurs livraisons, dans une revue locale. L'ouvrage de Philippe Tourault en livre l'essentiel. Après avoir rappelé les événements survenus depuis 1560, Jean Louvet, greffier angevin, commence sa chronique en 1583 et la poursuit jusqu'en 1634, peu avant sa mort. Témoin d'exception, ce catholique intransigeant (que consterne l'avènement d'Henri IV) décrit donc tout au long du règne de Charles IX, d'Henri III, d'Henri IV et de Louis XIII, la vie et les humeurs des Angevins (et les siennes propres) aux prises avec la soldatesque, le climat, la vie chère, les impôts, les épidémies de peste, les "bons" et "mauvais pauvres", les "bons" et "mauvais catholiques", les bourgeois prétentieux, les huguenots impénitents. Il juge et commente les combats et les édits, les informations qui lui parviennent de Paris, du Languedoc, de Nantes, de La Rochelle surtout où les protestants défient le roi. Ainsi, fait rarissime, près de soixante-quinze ans de notre histoire, dont plus de cinquante en prise directe avec l'événement, nous sont rapportés tels qu'ils ont été vécus et sentis au jour le jour par les Français.
Un récit poignant qui met en lumière le martyre des Normands, c'est-à-dire la face trop cachée ou trop oubliée de la formidable opération qui précipita la défaite du IIIe Reich et la libération de l'Europe. Du 6 juin au 30 août 1944, la Normandie a été le théâtre d'une gigantesque bataille qui, Alliés et Allemands confondus, a fait quelque 200 000 morts... et laissé derrière elle un champ de ruines. Aucune province de France n'a connu de tels ravages : 20 000 civils au moins ont été tués en quatre-vingts jours. Caen, écrasé par un mois de bombardements et de tirs d'artillerie, Saint-Lô, la « capitale des ruines », Le Havre dont le centre fut anéanti bien que la ville ne recélât aucun objectif militaire, Lisieux, Coutances, Valogne, Mortain, Falaise, Villers-Bocage, Isigny et bien d'autres bourgs ont été détruits à plus de 75 pour cent. A part Bayeux, miraculeusement épargné, il n'est guère de cités normandes dont le patrimoine historique ait échappé au marteau allié, forcément plus destructif que l'enclume allemande. Grâce à des dizaines de témoins, Christophe Beaudufe raconte au jour le jour la survie ou la mort de ces Français sous les bombes et les obus, terrés dans des caves et des grottes, errant sur les routes et dans les champs, ensevelis sous les décombres des maisons qu'ils ne s'étaient pas résignés à évacuer. Ce terrible tribut payé à la libération de la France, les Normands l'ont accepté avec courage ou fatalisme. Mais ils ont été trop souvent négligés par les historiens. Il était utile, soixante ans après, de restituer l'étendue de leur sacrifice.
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Napoléon, échappé de l'île d'Elbe, débarque à Golfe-Juan le 1er mars 1815, entre à Paris le 20 mars tandis que Louis XVIII a gagné Gand et signe sa seconde abdication le 22 juin. Pendant les Cent-Jours, au nord et au sud de la Loire, des grands noms de l'ex-Vendée militaire (Poitou, Anjou, Maine, Bretagne, Normandie) ont tenté de soulever ces provinces contre l'"usurpateur". C'est le récit détaillé de cette nouvelle "Vendée" que nous fait Jean-François Chiappe. La question religieuse n'étant plus à l'ordre du jour depuis le Concordat, l'appel aux armes ne mobilisa pas les paysans comme en 1793, mais l'Armée catholique et royale fixa tout de même à l'Ouest 40 000 "bleus" dont on s'est demandé si leur présence à Waterloo n'eût pas changé le sort de la bataille. Jean-François Chiappe évoque aussi la "Vendée bordelaise", la "Vendée toulousaine" et la "Vendée bas-languedocienne", autrement dit les autres mouvements armés royalistes suscités par le "vol de l'Aigle". Pour traiter ce volet des Cent-Jours, trop souvent oublié par les historiens et donc méconnu du public, l'auteur, assisté d'Eric Vatré, a pris en compte l'environnement religieux, familial, économique, financier, linguistique. Mais, surtout, il a exhumé et redonné vie à des êtres de chair toujours prêts à sacrifier leur sang par fidélité à leurs principes.