L'auteur en retraçant l'itinéraire de Jack Kerouac tente de lui rendre hommage, un écrivain alcoolique ayant vécu son purgatoire sur la terre et passé à Paris en 1957.
Disciple en mélancolie, Thierry Séchan a voulu parler d'un poète américain qui fut le digne fils d'Henry David Thoreau et de Mark Twain. Sur les traces de celui qu'on surnomma the last of the Beats, il a traversé plusieurs fois l'océan à la poursuite du vent, et puis il a franchi la rivière Brautigan. En fin de course, il a sauvé quelques feuillets d'amour fou, d'une sincérité absolue.