Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
La croissance est en panne. Le modèle d'une société de consommation tirée par la boulimie d'achat et la publicité-désir des années quatre-vingt ne fonctionne plus. Sous l'effet d'un coup de froid économique, on assiste à la résurgence d'un protectionnisme généralisé dont le consommateur semble devoir faire les frais. C'est le retour des corporatismes. Les chefs d'entreprise et les hommes politiques fustigent l'égoïsme des Français. Ils leur reprochent de dépenser peu, d'acheter trop bon marché des produits souvent importés. Voilà les consommateurs désignés comme boucs émissaires du chômage et de la déflation. La fronde des caddies est la traduction économique d'une profonde mutation du comportement des usagers et des citoyens qui, sur leur lieu de travail, dans les zones rurales ou en banlieue, veulent s'affranchir des grands discours technocratiques et de tous les stéréotypes. Avec la liberté de ton qui le caractérise, Michel-Édouard Leclerc dresse un tableau féroce des pratiques anticoncurrentielles qui portent atteinte à la liberté de choix du consommateur et au renouvellement des hommes, des idées et des métiers. Il réclame un dialogue plus fécond entre les entreprises, l'administration et les usagers dans tous les domaines de la vie quotidienne. Il trace enfin des pistes nouvelles de croissance et d'emploi que l'émergence d'une autre société de consommation réserve aux générations futures... pour peu qu'on leur en autorise l'accès.
Loin d'être favorisés par rapport aux étrangers, comme on le prétend trop souvent par ignorance, les Français, bien au contraire, sont parmi les contribuables les plus imposés du monde moderne. Ce qui n'empêche pas notre pays de compter encore 6 millions "d'exclus de la croissance" ce qui constitue une honte nationale. Jacques Bloch-Morhange nous assène une série d'arguments et accumule des preuves chiffrées à couper le souffle. Né à Paris le 31 janvier 1921, l'auteur après la guerre et la Résistance a fait une carrière d'économiste et d'écrivain. Ses analyses et ses idées bénéficient d'une large audience en France et à l'étranger.
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1929-1939 : dix années de crise mondiale pendant lesquelles les sociétés civilisées se sont heurtées à des problèmes qu'elles ne sont pas arrivées à résoudre. Une réorganisation profonde est indispensable. L'économie ne peut s'accommoder des fantaisies de la politique. Le terme « économie politique » est un non-sens véritable, et il nous paraît plus logique de dénommer la science nouvelle : L'ÉCONOMIE SOCIALE. L'organisation capitaliste tout entière doit être rénovée et adaptée à la société actuelle, pour lui permettre d'assurer la répartition et la consommation d'une production qui doit aller sans cesse en augmentant. Ce sont là les bases sur lesquelles nous nous sommes proposés d'édifier le capitalisme de demain : LE CAPITALISME SOCIAL.
1929-1939 : dix années de crise mondiale pendant lesquelles les sociétés civilisées se sont heurtées à des problèmes qu'elles ne sont pas arrivées à résoudre. Une réorganisation profonde est indispensable. L'économie ne peut s'accommoder des fantaisies de la politique. Le terme « économie politique » est un non-sens véritable, et il nous paraît plus logique de dénommer la science nouvelle : L'ÉCONOMIE SOCIALE. L'organisation capitaliste tout entière doit être rénovée et adaptée à la société actuelle, pour lui permettre d'assurer la répartition et la consommation d'une production qui doit aller sans cesse en augmentant. Ce sont là les bases sur lesquelles nous nous sommes proposés d'édifier le capitalisme de demain : LE CAPITALISME SOCIAL.
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La question du juge, de sa place et de sa fonction dans notre société, est une question récente. Nous assistons en effet, depuis les années 80, au développement d'une société de droit et à l'avènement du juge qui en est la figure emblématique. Il n'y a plus d'immunités. Voilà que les juges prétendent appliquer toutes les lois et exercer la plénitude de leurs fonctions ! Que leur rôle annoncé soit leur rôle réel ! Il s'agit là d'une révolution culturelle. Et nous sommes encore au milieu du gué. Cette judiciarisation de la société, associée au journalisme dit d'investigation, comporte un risque : voir tout à fait disparaître la présomption d'innocence et la vie privée au profit d'une justiciabilité commune et aboutir à un mythique « gouvernement des juges ». Mais ces excès, présents ou possibles, sont moins importants que les effets profonds. C'est par le juge que parlent à nouveau les textes fondateurs, que l'égale dignité est assurée, que les « affaires » deviennent transparentes et que la législation pléthorique se transforme en justice. Le discours politique lui emprunte sa vertu : l'impartialité, et son mode de recherche de la vérité probable : le contradictoire. C'est cette dimension nouvelle du droit et de la place du juge, tiers longtemps absent devenu tiers actif, que nous expose cet essai d'un praticien qui est aussi un philosophe du droit.
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